Retour sur le vernissage Marcel Barbeau. En mouvement au MNBAQ

Retour sur le vernissage Marcel Barbeau. En mouvement au MNBAQ

 

 

Vue de l’exposition Marcel Barbeau. En mouvement, Musée national des beaux-arts du Québec, octobre 2018. Crédit photo : Damien Gillot.

 

Le 10 octobre dernier s’ouvrait la grande rétrospective Marcel Barbeau. En mouvement au Musée national des beaux-arts de Québec. Amis et famille de l’artiste, collectionneurs, amateurs d’art, travailleurs culturels ainsi que journalistes étaient réunis pour assister à la plus grande exposition jamais réalisée sur l’œuvre de ce pionnier de l’art contemporain. Se tenant dans le pavillon Lassonde, l’exposition couvre 70 années de création et d’exploration artistique, nous donnant à découvrir les différentes facettes de cette figure audacieuse de l’histoire de l’art.

À travers une centaine de peintures, sculptures, dessins, collages, photos d’archives et de performances, la conservatrice de l’art contemporain au MNBAQ et commissaire de l’exposition Ève-Lyne Beaudry invite le spectateur à vibrer au rythme des mouvements qui animaient l’homme et qui habitent encore son œuvre.

Peu avant l’ouverture de l’exposition, l’historienne de l’art et veuve de Marcel Barbeau, Ninon Gauthier a donné une conférence intitulée Marcel Barbeau : Imaginer sa vie et l’art.

 

 

 

 

 

 

Catalogue de l’exposition Marcel Barbeau. En mouvement, Musée national des beaux-arts du Québec.

Un catalogue bilingue et abondamment illustré accompagne l’exposition. Remarquable, cet ouvrage inclut la reproduction de l’ensemble des œuvres exposées. On y retrouve aussi une préface d’Annie Gauthier, directrice des collections et de la recherche du musée, un essai d’Ève-Lyne Beaudry, un témoignage de Ninon Gauthier, un essai de Rober Racine, artiste, écrivain, pianiste et compositeur et une chronologie illustrée, signée Ninon Gauthier, à titre d’auteur du catalogue raisonné de l’artiste, et Marc-Antoine K. Phaneuf, écrivain et artiste. Véritable source documentaire, ce catalogue fera sans aucun doute le plaisir des passionnés d’art contemporain.

 

 

 

 

 

 

 

Vue de l’exposition Marcel Barbeau. En mouvement. MNBAQ. Crédit Photo : MNBAQ, Idra Labrie.

 

La fondation Marcel Barbeau tient à remercier du fond du cœur tous ceux qui ont rendu possible ce grand projet d’exposition.

  • Un grand merci à toute l’équipe du Musée qui a su porter ce colossal projet de rétrospective et en faire un hommage émouvant et à la hauteur de l’œuvre de l’artiste célébré. Merci tout spécial à Ève-Lyne Beaudry pour sa sensibilité, sa gentillesse et son immense sagacité envers l’œuvre de Barbeau, à Annie Gauthier, directrice des collections et de la recherche et à Denis Gauthier, coordonnateurs des expositions ainsi que de toute leur équipe qui les ont soutenues dans cet énorme projet. Des remerciements spéciaux à Marie-Renée Bourgel-Harvey qui a magnifiquement mis cette exposition en espace pour tracer un parcours élégant et fluide et aéré entre les périodes de l’artiste et à Michel  Bélanger pour avoir réalisée un éclairage discret tout en douceur des œuvres pour le plus grand confort des visiteurs qui traversent ce long parcours porté uniquement par la beauté des œuvres et la joie qu’elles leur apportent.

 

  • Merci infiniment à Madame Line Ouellet, directrice du musée jusqu’en février 2018 qui la première a su déceler
    Vue de l’exposition Marcel Barbeau. En mouvement. Crédit photo : MNBAQ, Idra Labrie.

    l’importance de ce projet et s’y s’engager avec détermination et ferveur. Madame Ouellet, grâce à vous, Marcel Barbeau a appris quelques semaines avant son départ qu’une rétrospective, attendue si longtemps, lui serait dédiée. Votre engagement et votre conviction ont illuminé ce qui était pour lui un moment de grande détresse. Marcel aurait sans aucun doute aimé vous remercier en personne pour la reconnaissance et la confiance que vous lui avez offerte. Merci également Monsieur Jean-François Fusey, directeur administratif qui a pris le relais comme directeur par intérim pour assurer le succès de cette exposition.

 

  • Merci à Catherine Morency, éditrice déléguée du catalogue et à son équipe. Merci aussi Marc-Antoine K. Phaneuf pour son travail remarquable de recherche et d’écriture, au brillant designer graphique du catalogue, Marc-André Roy (de Makara), à Émilie Choquet, Donald McGrath et Jane Jackel qui ont, eux aussi, contribué à cette publication.

 

  • Vue de l’exposition Marcel Barbeau. En mouvement. Crédit photo: MNBAQ, Idra Labrie.

    Merci à Marie-Claude Boily , Marie-Hélène Audet et à la formidable équipe de médiation qui ont développé un programme de médiation original pour accompagner l’exposition par la mise à disposition d’un remarquable guide électronique de l’exposition, par des conférences, des ateliers, des concerts, des spectacles, des projections de films, et d’autres belles surprises pour les visiteurs de tout âge. Sans oublier Jean François Lippé, directeur du service du Marketing et des communications et son équipe qui ont travaillé au rayonnement de cette exposition.

 

  • Merci à Yannick Plamondon et son équipe technique qui ont concocté, avec la complicité du compositeur Frédéric Lambert et de 11 autres jeunes compositeurs québécois d’expression contemporaine, l’exceptionnel parcours musical de l’exposition, pour accompagner les visiteurs avec la musique nouvelle que Barbeau aimait tant.

 

  • Merci à Robert Etcheverry pour sa longue collaboration avec son ami Marcel comme photographe d’évènements et portraitiste de même que pour ses superbes portraits et photos de performances incluses dans l’exposition et pour les photographies qu’il a faits du vernissage.

 

  • Merci aux 34 bienfaiteurs privés et publics pour leur généreux soutien financier, sans lequel cette exposition n’aurait pas pu être réalisée.

 

  • Merci tout particulièrement au Dr Félix-André Têtu, philanthrope éclairé qui a décidé de soutenir financièrement la production de la sculpture Chant d’amour, d’après une maquette que Marcel Barbeau avait créée en 1990 en vue d’une production en format monumental, mais qu’il n’avait jamais pu réaliser de son vivant, faute de commande publique, de s’être impliquer personnellement dans le suivi de toutes les étapes de la réalisation de cet énorme projet et de l’avoir prêtée au musée pour la durée de l’exposition afin d’en partager la beauté avec le public. Merci au sculpteur Martin Brisson, d’avoir agit comme praticien dans cette production pour coordonner et réaliser cette œuvre colossale dans le respect de la maquette et des volontés de l’artiste sous la supervision de son ayant droit, sa veuve Ninon Gauthier ainsi qu’au chantier naval Industries Océan de L’Isle-aux-Coudres pour avoir accueilli ce projet. Merci à Ève-Lyne Beaudry, la commissaire de l’exposition et la direction du Musée d’avoir accueilli cette addition tardive à l’exposition, permis de la déployée devant le musée comme son étendard et sa figure de proue pour la durée de l’exposition.

 

  • Merci aux membres du Conseil d’administration de la Fondation particulièrement à sa Présidente Madame Christiane Germain et aux membres du Musée National des beaux-arts du Québec d’avoir été si nombreux et enthousiastes au vernissage.
  • Vue de l’exposition Marcel Barbeau. En mouvement avec Manon Barbeau et Ève-Lyne Beaudry. Crédit photo : MNBAQ, Idra Labrie.

    Merci à la famille de l’artiste qui ont su l’encourager et le supporter dans ses moments de fulgurante création comme dans les écueils semés par la vie, particulièrement ceux qui étaient présents au vernissage : sa fille Manon, son fils François, sa petite-fille Anaïs, ses nièces fidèles Carole, Marie-Luce et Michèle Aumais et son conjoint Guy Hénuset, sa cousine et son cousin par alliance Marcelle et Michel Rose et leurs conjoints André et Céline, qui étaient présents au vernissage, sans compter son arrière-petit-fils Ulysse qui a inauguré le grand jeu de collage installé à la fin de l’exposition. Merci aussi à son petit-fils Manuel qui, retenu par le travail a dû avec regret différer sa visite de l’exposition.

  • Merci encore aux amis et collectionneurs de Marcel Barbeau, Jacques et Claire Martin, Jacques Bélanger, de la région de Montréal, Véronique Tomazewsky, de Toronto, Lyne-Sylvie Perron, fille de son cher et regretté ami Maurice Perron et à Marie-Eve Tanguay qui fut son assistante et qui œuvre maintenant au développement de la Fondation Marcel Barbeau aux côtés de Ninon Gauthier.
  • Merci aux galeristes Yves Trépanier, de TrépanierBaer Fine Arts de Calgary, Mark et Alex Liebner, de la galerie d’Este, de Montréal, Jean-Claude Bergeron, d’Ottawa et Michel Guimont, de Québec, qui ont renouvelé leur appui à l’artiste par leur présence. Merci à Marion Chauvy qui, de Paris, apporte son soutien par la présentation du catalogue de l’exposition à la Foire Art Élysée qui tient en même temps que le lancement de cette exposition exaltante.

La Fondation Marcel Barbeau souhaite aussi souligner la forte implication de Ninon Gauthier dans toutes les étapes de ce projet.

Merci finalement au public qui est venu si nombreux et avec qui Marcel Barbeau désirait, avant tout, partager sa joie et son engagement envers la Liberté par ses œuvres.

Ninon Gauthier devant l’oeuvre Prum Prum Foula. Crédit photoL MNBAQ, Idra Labrie.

 

 

 

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