Il reprend Noah Noah 2 et le complète. Puis, il réalise une nouvelle série de peintures dans une palette dominée par les couleurs tertiaires et les couleurs rompues.
En janvier, une encre de la série des Combustions originelles figure dans l’exposition de Dessins et estampes canadiens 1799-1956, au Musée des beaux-arts de Montréal.[31] Le Musée d’art contemporain de Montréal présente Rétine 666 dans l’exposition Point, Ligne, Plan, du 26 janvier au 16 mars 1986.[32]C’est la première exposition publique de ce tableau exceptionnel depuis son acquisition par le Musée en 1972. Deux de ses sculptures récentes font partie de l’exposition Collection 86, qui se tient du 8 février au 1er mars à la Galerie Esperanza à Montréal.[33] Du 21 au 23 février, il participe à Miami International Art, qui se tient au Coconut Grove Expo Centre.[34] II amorce une relation d’affaires avec la Galerie Moos de Miami, qui prend en consignation les tableaux et les deux sculptures qu’il expose dans cette foire. Du premier au 21 mai, il participe à l’exposition The Automatists Then and Now à la Galerie Dresdnere à Toronto.[35] Parallèlement à ses œuvres anciennes, la galerie expose une de ses dernières sculptures, Le bal du hasard, et une peinture récente, Crépuscule. Ces oeuvres sont reproduites dans le catalogue de l’exposition. Barbeau se rend à Toronto pour le vernissage où il y retrouve ses anciens compagnons, Pierre Gauvreau, Madeleine Arbour et Françoise Sullivan.
Au cours du printemps et de l’été, Barbeau rénove l’appartement en duplex de sa propriété du 1635 Amherst. Une grève de l’industrie de la construction rend la tâche difficile. Il y emménage le 1erjuillet.
Dans le cadre du symposium de Lachine, il réalise en juin et en juillet une sculpture monumentale Liberté, liberté chérie.[36] Un retard dans la livraison des matériaux et les délais imposés par les organisateurs de l’évènement l’obligent à travailler de l’aube jusqu’après la tombée de la nuit. L’œuvre est installée en permanence à la Marina de Lachine à la fin juillet.
En août, il accompagne son épouse à Baie-Saint-Paul pour le symposium de peinture où elle travaille à nouveau comme responsable des communications. Il réalise une série de papiers collés à partir de vieux numéros du New York Time, qu’il découpe. À son retour à Montréal, il intègre des papiers collés à quelques-unes de ses peintures du printemps précédent. Puis, il entreprend une série de papiers collés pour lesquels il utilise uniquement des papiers de couleur. Du 19 octobre au 2 novembre, la Galerie Lacerte-Guimont de Québec expose deux de ses peintures de la période new-yorkaise dans le cadre d’une exposition sur l’art québécois dans les années soixante.[37]En décembre, la Galerie Stewart de Montréal l’invite à participer à une exposition collective portant sur les années cinquante.[38]
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