En février, il obtient une mention à l’International Art Competition de New York pour les peintures de sa série de 1988. Deux de ses œuvres de très grand format, À ma fenêtre de 1959 et Le souffle qui engendre de 1975 figurent dans l’exposition des nouvelles acquisitions du Musée de Joliette.[48] Le centre d’exposition Drummond inclut une de ses œuvres dans une exposition itinérante d’œuvres de la Collection Union-Vie.[49]
En avril, Barbeau expose à la Galerie Kaspar de Toronto. À cette occasion, la galerie publie un catalogue avec l’appui financier du gouvernement du Québec. L’historienne de l’art anglo-canadienne Ann Davis signe la préface de ce catalogue.[50]
Son projet, présenté au concours Sculpture-Séduction, est sélectionné par un jury et choisi par la ville de Montréal Est pour être réalisé en grand format et installé dans le parc de l’Hôtel de ville. La réalisation de l’œuvre est prévue pour le printemps suivant. Les maquettes retenues par le jury sont exposées à la Galerie John Daniel (Montréal). En juin, Barbeau participe à AZ Art, Contemporary Quebec Artists, une exposition collective d’artistes québécois à la Pyramid Gallery à New York.[51] Au cours de l’été, il s’installe à Piémont où il poursuit ses recherches en sculpture. Parallèlement, il réalise une série de peintures expressionnistes sur papier, inspirées de la nature environnante. De retour à Montréal à l’automne, il reprend ses travaux de peintures de grand format dans lesquels il poursuit ses explorations du mouvement et de l’espace virtuel au moyen de la couleur.
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