En février, la Galerie Westbridge de Vancouver présente une exposition de ses œuvres. En mai, la réunion annuelle de l’Académie Royale des Arts du Canada se tient à Montréal. Marcel Barbeau y est reçu officiellement à l’occasion du dîner annuel des membres. On peut voir l’une de ses œuvres dans l’exposition Nouvelles acquisitions au Musée de Joliette[36] et dans l’exposition du Quinzième anniversaire de la Galerie Drummond du centre d’art de Drummondville, 15 ans 15 artistes, du 13 juin au 19 septembre.[37] Le British Museum acquiert d’un marchand d’art torontois trois encres de sa suite des Combustions originelles du début des années cinquante.
En septembre, Barbeau retourne pour un séjour prolongé à Paris où il poursuit la série amorcée en 1991. Il obtient d’abord pour deux mois un atelier à la Cité internationale des arts. En novembre, il s’installe dans un atelier de la fondation de la Cité internationale universitaire alors qu’il loge à la Maison du Canada. À la demande du sculpteur Mario Merola, qui prépare un recueil d’écrits d’artistes, Barbeau écrit un texte dans lequel il tente de faire le point sur sa démarche.[38] À cette occasion, il donne le titre Anaconstructionsà la série de peintures qu’il poursuit depuis 1991.
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