À la mi-janvier, retourne à Paris où il habite à la Cité Universitaire. Il y travaille tout l’hiver dans un petit atelier appartenant à la Fondation internationale. En avril, il est l’invité des Amis de la Grande Vigne, à Dinan.[50] Inspiré par la beauté et la tranquillité du lieu, il y produit six peintures et une sculpture d’assemblage polychrome. Après un bref séjour chez une amie, Nicole Chauvel, à Millemont, il revient au Québec en mai.
En mai, le Centre d’exposition du Vieux Palais à Saint-Jérôme expose la photographie de Liberté, Liberté chérie dans le cadre de l’exposition Art public/modèles réduits. Au cours de l’été 1996, il partage son temps entre Montréal et Pointe au Pic. Préoccupé par la précarité de sa situation et gagné par le climat d’insécurité et de morosité qui prévalent à Montréal, il ne produit qu’une sculpture de grand format au cours de l’été.
Le 21 août, le ministère de la Culture de France accorde à Barbeau un atelier permanent avec logement, à Bagnolet.[51] Il vend sa résidence de la rue Amherst pour s’installer au début d’octobre dans cette ville de la proche banlieue parisienne. Il consacre l’automne à l’aménagement de son nouveau logement.
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