Ce document est tiré de la thèse de doctorat de Ninon Gauthier, « Échos et métamorphoses dans l’œuvre de Marcel Barbeau Catalogue des peintures (1945 – 1971) et catalogue des sculptures (1945 – 2000), préparée sous la direction du Professeur Serge Lemoine et soutenue à l’Université Paris IV – Sorbonne le 9 mars 2004.
51: Op. cit. note 3, p. 658.
52: Entretien avec Pauline Shink de janvier 1982, de février 1988 et de mars 1990 et dédicace d’une encre de la suite des Combustions originelles.
53: cf. note 4 et Op. cit. note 3, p. 671-683
54: GAUVREAU, Claude et DUSSAULT, Jean-Claude, Correspondance 1949-1950, Montréal, Hexagone, 1993, p. 227.
55: Proclamation et lettre de Pierre Gauvreau à Borduas, 29 mars 1950, Fonds Borduas, Médiathèque, Musée d’art contemporain de Montréal et Archives personnelles de Madeleine Arbour et de Marcel Barbeau (photocopie). Cette polémique est aussi mentionnée dans ELLENWOOD, Ray, Egregore: The Montreal Automatist Movement, Exile Edition, Toronto, 1992. Dans une lettre ultérieure, Pierre Gauvreau apporte des nuances à cette dénonciation. Archives personnelles de Madeleine Arbour.
56: Op. cit. note 3, p. 701-705.
57: cf. note 4. et op. cit. 3, p. 719-722.
58: cf. note 4 et rencontre avec Monsieur Lowber à l’Office Equipment en novembre 1969 à l’occasion de l’organisation de la rétrospective Marcel Barbeau au Winnipeg Art Gallery.
59: cf. note 4. Voir aussi op. cit. 3 p. 758-757.
60: GAUVREAU, Claude, « Tranches de perspective dynamique », Le Haut Parleur, Montréal, 20 octobre 1951, p. 2 et 5. Deux de ces petites peintures ont été acquises par le MBSM en novembre 2001. Deux de ces peintures ont été acquises récemment par le Musée des beaux-arts de Montréal. Cf. Catalogue raisonné des peintures, PE.115 et PE.119.
65: Missive de Marcel Barbeau à Borduas sur une carte postale du MOMA représentant une huile de 1914-1918, Les jouets d’un prince (mauvais génie d’un roi) de Giorgio de Chirico, Correspondance de Borduas, Archives de Borduas, MACM.
67: Op. cit. note 20, p. 87-88 et op. cit. note 3, 788 à 792.
68: cf. Fonds d’archives du MBAM, Dossier de l’exposition Borduas and a Group of Young Montréal Painters, 1952.
70: cf. note 21 et conversation avec Maurice Perron à propos de sa visite à Saint-Mathias et de ces photographies en relation avec leur reproduction dans la monographieMarcel Barbeau Le regard en fugue (1990), au cours de l’hiver 1959.
71: Dossier de presse, archives personnelles de l’artiste.
74: Archives du Musée des beaux-arts de Montréal, Dossier Marcel Barbeau.
75: Archives des collections Musée des beaux-arts de Montréal.
77: Bibliothèque des arts de l’UQÀM, Collections spéciales, Dossier du Centre d’art de Sainte-Adèle.
78: cf. note 4 et Fonds Paul-Émile Borduas, MACM, Correspondance avec Suzanne Meloche et avec Marcel Barbeau.
79: cf. note 4 et photographie avec légende titrée « La peinture a bien des adeptes dans le Nord de notre province », Photo-Journal, Montréal, 22 janvier 1953.
80: Entrevue avec Pierre Chouinard, mars 1982.
81: Entrevue avec René Buisson, vers 1989 : ces encres ont brûlé dans les années soixante dans l’incendie qui a ravagé la maison de ce dernier.
82: Entrevue avec Pierre Chouinard, hiver 1984.
84: « Ce soir vernissage de l’exposition Barbeau-Cimon », Le Devoir, Montréal, 7 avril 1953.
85: Rodolphe de Repentigny, « À la Galerie Agnès Lefort. Marcel Barbeau et ses Combustions; l’art délicat de L. Cimon », La Presse, 11, mars 1953, p. 33.
86: W.Q.K, “Drawings Shown By Montreal Artist Follow New Trend”, The Journal, Ottawa, 8 avril 1953.
87: cf. note 3, op. cit. p. 832. Étant donné les déménagements successifs de Barbeau durant cette période, où il quittait Rouyn-Noranda pour Montréal, il est possible que l’invitation lui soit parvenue trop tard ou qu’elle ait été égarée. Il est moins probable qu’il ait négligé d’y répondre, bien qu’il était alors très occupé avec les préparatifs de ses deux expositions à Montréal et à Ottawa, car il semblait alors rechercher toutes les occasions d’exposition de ses œuvres, comme on peut en juger par le relevé de ces activités.
88: cf. note, 3, op. cit. p. 837.
89: François Bourgogne, le Salon du printemps, L’Autorité, 21 mars 1953, p. 5. Dans sa Chronique du mouvement automatiste québécois, Francois-Marc Gagnon précise que François Bourgogne était un pseudonyme de Rodolphe de Repentigny, op. Cit. p 830.
92: Charles Doyon, « Un évènement artistique. Place des artistes. » Le Haut parleur, Montréal, 16 mai, 1953, p. 4-5.
93: cf. note 4 et dossier de l’artiste, « Coup de théâtre. Barbeau (mécontent) accuse le sculpteur Roussil de faire de la politique », Samedi-Dimanche, Montréal, vol II, no 12, 16 mai 1953, p. 23 et Claude Gauvreau, « L’épopée automatiste vue par un cyclope », La Barre du jour, op. cit. p. 69-70. À l’encontre de ce que suggère Claude Gauvreau dans cette chronique, Marcel Barbeau n’a jamais enseigné pas à Québec. Cependant, selon plusieurs témoins interviewés entre 1968 et 1992, il y a exercé une influence déterminante sur les jeunes artistes qu’il fréquentait de façon informelle.
94: GLADU, Paul, « Place des artistes », L’Autorité, Montréal, 16 mai 1953.
95: Le récit de la période de Québec s’appuie sur de nombreuses conversations avec l’artiste et sur des entrevues formelles avec divers témoins de cette époque dont, René Boissé en 1982, Pauline Shink (cf. note 62), Paul Vézina et Francine Gauthier en juillet 1981 et en juillet 1994 et François Soucy, lors d’une entrevue en juillet 1968 (Fonds d’archives sonores Ninon Gauthier, Médiathèque, MACM) et de rencontres en mars 1975, à Saint-Hippolyte, et en juillet 1980, à Saint-Irénée de Charlevoix.
97: cf. note 4, no 76 et légende de la photographie de Barbeau à côté de sa sculpture et légende, La Revue populaire, Montréal, vers 1953.
99: Entretien avec Marcel Barbeau au sujet d’une exposition au Centre d’art de Sainte-Adèle, mai 2002
101: Fonds Marcel Barbeau, Service des archives et de gestion des documents, UQÀM, dossier 110P2a/2. Il ne semble pas que l’engagement de l’artiste comme professeur de sculpture pour les sessions d’été 1952 et 1953 ait été établi sur une base contractuelle, ni que sa rémunération ait été aussi importante qu’en 1954.
103: cf. note 4 et entretien avec Fabienne Julien et Jean-Paul Guay, août 1994, à l’occasion d’une séance de photographie de tableaux.
104: cf. note 6 et Jean-René OSTIGUY, « Le Salon du printemps », Le Devoir, Montréal, 1er avril 1954, p. 7.
105: Entretien avec l’artiste, avril 2002.
106: Rodolphe de Repentigny, « Vitalité de l’art. La matière chante », La Presse, 24 avril 1954, p. 66; Claude Gauvreau, « L’épopée automatiste vue par un cyclope », La Barre du jour, op. cit. p 93; Fournier, Marcel, « Chronologie des évènements », Borduas et les Automatistes, Galeries nationales du Grand Palais et musées d’État du Québec, 197. Voir aussi François-Marc Gagnon, Chronologie du mouvement automatiste québécois, p. 901-902.
107: cf. note 4 et entretiens en 1982, 1988, 1989 et 1994 avec des collectionneurs qui ont acheté un tableau de cette époque à la Galerie Agnès Lefort vers 1954 et 1955.
108: Entretien avec l’artiste, mars 2002.
112: cf. note 4 et entretien avec Guido Molinari, août 1994, à l’occasion d’une séance de photographie des peintures de Marcel Barbeau de sa collection.
113: LAJOIE, Noël, « Vers un art plus actuel », Le Devoir, Montréal, 17 décembre 1955. L’article de Noël Lajoie qui mentionne ces expositions ne précise ni le lieu exact, ni la date, ni le titre de l’exposition ou celui de ses organisateurs.
114: PAKOWSKI, Sandra, Montreal Non-figurative Artists Association, Sir George Williams Art Gallery, Concordia University, 1983. PAKOWSKI, Sandra, Robert Ayre: the critic and the collection, Concordia Art Gallery, Concordia University, Montréal, 1992. pp. 5 et 59.
115: Photographie d’époque représentant l’artiste avec cette sculpture par un photographe anonyme. Marcel Barbeau a réalisé une copie de cette sculpture pour l’exposition Naissance et persistance de la sculpture au Québec, qu’il a donnée au Musée de Joliette pour en assurer la conservation.
116: cf. note 4. Aussi conversation avec Pierre-Paul Riou et d’autres témoins de l’époque au cours de l’automne 1968 à l’occasion de la préparation de la rétrospective Barbeau du Winnipeg Art Gallery.
117: GLADU, Paul, « Trois peintres qui fuient la réalité », Le Petit Journal, Montréal, 24 février 1957, p. 57. Aussi note 4 et rencontre avec Pierre-Paul Riou, cf. note 92.
118: cf. note 4 et rencontre avec cette personne à la Galerie Estampe Plus, en décembre 1990 à l’occasion d’un vernissage.
120: Nous n’avons retrouvé aucun document permettant d’établir avec certitude et précision les dates exactes du séjour de Barbeau sur la Côte Ouest. L’artiste affirme n’avoir presque rien produit sur la Côte Ouest et n’en avoir rien rapporté, si ce n’est un carnet de dessins, aujourd’hui perdu. Sa très faible production répertoriée pour l’année 1958 et le fait que cette année est la seule où l’on observe une interruption presque complète de sa production, nous incite à retenir l’année 1958 comme celle de son séjour à Vancouver. Par ailleurs, Barbeau affirme qu’il a travaillé quelques jours à la récolte des pêches dans la vallée d’Okanagan alors qu’il se rendait de San Francisco à Vancouver. Ce fait semble indiquer qu’il a quitté Montréal au plus tard à la fin d’août 1957. Par ailleurs, il se rappelle qu’il est revenu de la Côte Ouest au début de l’hiver suivant, alors que la température était particulièrement maussade. Il se souvient aussi avoir assisté peu de temps après son retour au premier concert avec conférence de Karlheinz Stockhausen à l’Université de Montréal le 11 décembre 1958. Considérant le souvenir vivace que Barbeau conserve de ce concert et son influence sur sa production graphique des mois suivants, dont certains dessins datés « décembre 1958 » et son séjour d’environ six mois chez Yves Lasnier, date confirmée par son frère Jacques Lasnier, avant son départ pour Québec au début mai 1959, date confirmée par Francine Gauthier et Paul Vézina chez qui il logea au cours de l’été 1959, il semble qu’on puisse établir la date de son retour de Vancouver vers la fin novembre ou le début de décembre 1958. Comme Barbeau a voyagé en automobile en s’arrêtant à plusieurs endroits à l’aller et qu’il est revenu en autobus au retour, ce qui représente un voyage de 5 jours, on peut vraisemblablement retenir les dates de septembre 1957 à novembre 1958 comme celles de son séjour sur la Côte Ouest. Les dates de 1958 et 1959 qui ont parfois été avancées à propos du séjour de Barbeau sur la côte ouest-canadienne dans des articles et dans des curriculum vitæ des années soixante et soixante-dix sont certainement erronées.
121: Correspondance de Marcel Barbeau avec Michèle Côté-Lortie, Fonds d’archives personnelles de Michèle Côté-Lortie.
122: Carnets de dessin de 1958 du Fonds Marcel Barbeau Service des archives et de gestion des documents, UQÀM, dossier 110P6b/3.
123: cf. note 4 et note 49.
124: Correspondance de Marcel Barbeau avec Michèle Côté-Lortie, Fonds d’archives personnelles de Michèle Côté-Lortie.
125: cf. note 4 et entretien avec ces témoins.
126: BARBEAU, Marcel, « Face à la meute », Revue socialiste pour l’indépendance du Québec et la libération prolétarienne nationale des Canadiens français, Montréal, hiver 1959-1960. et BARBEAU, Marcel, « L’exilé Borduas: Une victime du conservatisme », Revue socialiste pour l’indépendance du Québec et la libération prolétarienne nationale des Canadiens français, Montréal, Montréal, été 1960.
127: « Courrier des arts : plasticiens et automatistes ». La Presse, Montréal, vendredi 10 mars 1961, p. 35.
128: Entrevue téléphonique avec Francine Gauthier et Paul Vézina, septembre 1994.
129: Deux photographies, fonds d’archives photographiques de l’artiste. cf. Note 102.
132: Entretien avec Jacques Lasnier, août 1995 à l’occasion d’une séance de photographie des œuvres de Marcel Barbeau de sa collection, provenant de la collection de son frère Yves Lasnier ; Archives du MBAM, dossiers des expositions de la Galerie de l’Étable.
134: Correspondance de Marcel Barbeau avec Michèle Côté-Lortie, Fonds d’archives personnelles de Michèle Côté-Lortie.
135: Correspondance de Marcel Barbeau avec Michèle Côté-Lortie, Fonds d’archives personnelles de Michèle Côté-Lortie.